La 8e journée de Liga a été difficile pour le Real Madrid, le FC Barcelone et le Séville FC. De quoi permettre aux concurrents de se mettre en valeur. Voici notre XI ultra-offensif avec un certain Pistolero Luis Suárez en MVP.
Manolo Reina (RCD Mallorca) : qu’il est important cet arrêt sur le penalty (mal) frappé par le Comandante Morales ! Portería a cero, 3 points pour le club baléare et le départ dans la foulée de Paco López. Sacré tableau de chasse !
Manu Sánchez (CA Osasuna) : le dépassement de fonction du latéral gauche rojillo dans les arrêts de jeu rapporte 3 points à Osasuna. Sa tête croisée en arrivant de droite a conclu de la meilleure des manières un match complet, quasiment comme chaque semaine au demeurant.
Gabriel Paulista (Valencia CF) : le plus dur contre Cádiz, c’est de rester concentré pour éviter de tomber dans le piège de l’ennui. Le capitaine che a tenu la boutique avec 6️⃣ dégagements, 3️⃣ interceptions, 1️⃣ tacle et 0️⃣ faute.
Íñigo Lekue (Athletic Club) : c’est le grand vainqueur du début de saison. Titulaire indiscutable, l’arrière droit bénéficie de la confiance de Marcelino García Toral au point qu’il s’aventure de plus en plus aux avant-postes. Sa passe décisive pour Raúl García contre le Deportivo Alavés vaut 3 points.
Aleix Vidal (RCD Espanyol) : depuis son retour en Catalogne, il a retrouvé toutes ses qualités. Rapide, juste, entreprenant et auteur d’un but exceptionnel contre le Real Madrid, il retrouve une seconde jeunesse avec les Pericos.
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Sergi Darder (RCD Espanyol) : organisateur du jeu perico, virevoltant au coeur de l’organisation de Vicente Moreno, l’ancien Lyonnais a sorti son beau costume pour repasser le milieu du Real Madrid.
Thomas Lemar (Atlético de Madrid) : avec Joao Félix et Luis Suárez, il a tourné en ridicule le Barça à deux reprises avec un jeu en triangle d’école. Buteur et passeur décisif, le champion du monde s’est régalé et confirme la place qu’il a dans le collectif colchonero.
Arnaut Danjuma (Villarreal CF) : les Groguets savent réussir de très beaux coups et l’arrivée du Néerlandais né à Lagos ne fait pas exception. Un doublé plein de sang froid contre le Betis confirme les dispositions aperçues en Liga comme en Ligue des Champions.
Joao Félix (Atlético de Madrid) : critiqué, remis en question, mais toujours couvé par Diego Simeone, le Portugais a retrouvé le niveau affiché à la même époque la saison dernière. Des contrôles sublimes, de la prise de décision spontanée, une association avec Luis Suárez performante : l’ex du Benfica a été étincelant contre le Barça.