📌 Les notes : Atalanta – Real Madrid (0-1)

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A 11 contre 10 pendant 75 minutes, le Real Madrid a attendu un zapatazo du droit de Ferland Mendy dans les 5 derniĂšres minutes pour l’emporter sur le pelouse de l’Atalanta Bergame. Avec un effectif trĂšs rĂ©duit, Zinedine Zidane a ramenĂ© un rĂ©sultat essentiel d’Italie en prĂ©vision du match retour Ă  Valdebebas le 16 mars prochain. Voici nos notes. 

Real Madrid

Atalanta

Le MVP : Ferland Mendy

Son but lui permet de remporter ce titre honorifique MVP mais en dehors de ça, son match a Ă©tĂ© plutĂŽt intĂ©ressant. Il n’est jamais facile pour un latĂ©ral de dĂ©fendre face Ă  une dĂ©fense Ă  3. Le Français s’est montrĂ© solide dĂ©fensivement et s’est distinguĂ© d’une frappe mauvais pied qu’il est venu dĂ©poser dans le cĂŽtĂ© droit du but de Gollini. Une fois de plus, il est dĂ©cisif et permet au Real Madrid de prendre une option sur la qualification.

El Patrón : Raphaël Varane

Le dĂ©bat revient tout le temps sur la table : est-ce que RaphaĂ«l Varane peut ĂȘtre le patron de la dĂ©fense madridista en l’absence de Sergio Ramos ? Ce soir, le Français a dĂ©montrĂ© qu’il en avait les capacitĂ©s. Aux cĂŽtĂ©s de Nacho, il a su maĂźtriser les assauts italiens, bien aidĂ© Ă©galement par la sortie prĂ©maturĂ©e de DuvĂĄn Zapata.

La Mala Sorpresa : le positionnement d’Isco

Zinedine Zidane a tentĂ© mais le pari n’a pas forcĂ©ment portĂ© ses fruits. L’entraĂźneur français a dĂ©cidĂ© de donner sa chance Ă  Isco, trĂšs peu en vue cette saison du cĂŽtĂ© de Valdebebas, dans un poste de falso nueve. Mais les manques de rythme et de compĂ©tition de l’Espagnol se sont fait ressentir. TrĂšs peu actif au cƓur du jeu, il n’a pas su dicter le rythme et distribuĂ© de bons ballons sur ses compagnons d’attaque du soir en la prĂ©sence de Vinicius Jr et Marco Asensio. Pas sĂ»r que ZZ retente le coup lors des prochaines rencontres


La DecepciĂłn : Marco Asensio

Asensio est certainement l’attaquant le plus dĂ©cevant de la soirĂ©e cĂŽtĂ© merengue. Vinicus, par ses dribbles, a permis de faire quelques diffĂ©rences malgrĂ© ses dĂ©fauts dans le dernier geste. Isco a Ă©tĂ© plutĂŽt propre sans jamais crĂ©er l’étincelle. Quant au Majorquin, il n’a ni Ă©tĂ© actif ni dĂ©cisif et n’a jamais su apporter le danger que ce soit balle au pied ou par le dĂ©clenchement d’appels qui auraient pu ĂȘtre intĂ©ressants avec la qualitĂ© de passe d’Isco.

Fabien Chevallier (@fabchevallier)

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